Le texte conserve la référence à 1,5°C et aux pertes et dommages. Il prévoit une révision quinquennale des contributions.
Le texte prévoit de « contenir » la hausse moyenne de la température du Globe « nettement en dessous de 2°C » par rapport aux niveaux pré-industriels. Il ajoute qu’il faut « poursuivre l’action menée » pour limiter la hausse à 1,5°C… « conformément à l’équité et au principe des responsabilités communes mais différenciées et des capacités respectives, eu égard aux contextes nationaux différents ».
Les émissions de GES devront décliner « de façon à parvenir à un équilibre entre les émissions anthropiques par les sources et les absorptions anthropiques par les puits de gaz à effet de serre au cours de la deuxième moitié du siècle ».
Les Etats remettent des contributions nationales sur une base quinquennale, tout en respectant les principes des responsabilités communes mais différenciées et les capacités respectives des Etats. Un bilan global des contributions et de leur mise en œuvre sera fait régulièrement, d’abord en 2018 dans le cadre d’un dialogue facilité, puis tous les cinq ans à partir de 2023.
Les pays développés doivent apporter des ressources financières pour soutenir les mesures d’atténuation et d’adaptation des pays en développement. Il est défini un nouvel objectif « plancher » applicable à partir de 2025. Ce nouveau montant doit être supérieur au « plancher de 100 milliards de dollars ».
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